Femme Seerer (Sénégal)

Elle se tient là, intemporelle et fière.

Femme gardienne d’une mémoire ancestrale, sculptée avec la force et la délicatesse du geste.

Chaque courbe raconte une histoire, chaque trait porte l’empreinte d’un peuple, d’une terre, d’un souffle de vie figé dans la matière

Femme de la tribu d’Issa (région d’Afar)

Elle appartient à la tribu des Issa, peuple de la région d’Afar, en Afrique. Son port de tête est noble, ses boucles d’oreilles scintillent comme des fragments d’histoire.

Sculptée dans la matière, elle incarne la force et l’élégance, la mémoire d’un peuple, la fierté d’une identité.

Sous les mains de Michèle Ludwiczak, l’âme prend formes, et l’art devient témoin du vivant.

Femme de la tribu karo (Ethiopie)

Chez les Kara, le portage est plus qu’un simple geste : il symbolise la protection, la transmission et l’amour inconditionnel.

Le regard tourné vers l’horizon, cette mère incarne la résilience et la tendresse, portant son enfant comme un prolongement d’elle-même, au coeur d’un quotidien rythmé par les traditions et la nature.

Turkana girl (Kenya)

Un geste simple, une posture énigmatique, et pourtant une présence fascinante.

“Turkana Girl” capture l’instant où une jeune fille du Kenya semble suspendue entre le silence et la parole, l’introspection et l’expression.

Un geste empreint de mystère

Son index levé devant sa bouche, à quelques centimètres à peine, intrigue et interpelle. Veut-elle dire quelquechose ou au contraire inviter au silence? Est-ce un signe de réflexion, un secret qu’elle garde précieusement, ou un message ancestral transmis sans mots?

Jeune fille de la tribu des Makawana (Angola)

Une main posée sur son visage, comme pour retenir le murmure des ancêtres, comme pour saisir l’instant.

Elle est fille des Makawana, tribu d’Angola, témoin d’un héritage qui traverse le temps.

Ses traits racontent la force d’une culture, la beauté d’une identité, l’empreinte d’un monde que le regard de l’artiste capture avec intensité

Féminité

Dans cette œuvre puissante et émouvante, Michèle Ludwiczak explore l’intimité du lien maternel avec une sensibilité rare. La mère et sa fille, en très grande protection met en scène deux figures indissociables, fondues dans une étreinte qui dépasse la simple tendresse. Il s’agit ici d’une présence totale, presque sacrée, où la mère devient abri, rempart, cocon vivant.

Le geste sculptural capte avec finesse la tension entre force et douceur. Le corps de la mère enveloppe celui de l’enfant avec une densité presque architecturale : elle est mur, elle est refuge. La fille, quant à elle, se laisse porter, confiante, absorbée dans ce sanctuaire de chair et d’âme. Il y a dans cette composition un silence chargé de résonances : celui des transmissions invisibles, des peurs contenues, de l’amour sans condition.

Jeune fille de Zanzibar

La sculpture "Jeune fille de Zanzibar" capture l'essence vibrante et colorée de la culture zanzibarienne.

La figure délicate de la jeune femme est mise en valeur par une savante coiffure qui ajoute une touche de fluidité et de mouvement. Ses grandes boucles d'oreilles, symboles de beauté et de tradition, captent subtilement la lumière, accentuant son visage aux traits expressifs.

Vêtue d'une tunique ornée de motifs orange et bleu, la sculpture évoque la richesse des paysages et des émotions qui émanent de cette région. Les couleurs vives se marient harmonieusement, reflétant la chaleur du soleil zanzibarien.

Michèle Ludwiczak réussit à insuffler à cette œuvre une profondeur narrative, invitant les observateurs à explorer non seulement la beauté externe, mais aussi l'âme et les histoires cachées derrière ce portrait.

Prince du désert

Une sculpture qui incarne la majesté et la sagessedes peuples nomades.

“Prince du désert”évoque la noblesse silencieuse des hommes du désert, ces gardiens de traditions millénaires, façonnés par le vent et le sable.

Le regard perdu vers l’horizon, ce prince semble porter en lui les secrets du désert. Sa posture, empreinte de sérénité et de fierté, raconte l’histoire de ceux qui avancent avec dignité et humilité dans l’immensité du monde.

Jeune fille au perroquet

La sculpture "Jeune fille au perroquet" incarne une harmonie délicate entre la féminité et la nature.

La jeune fille, représentée dans une attitude rêveuse, évoque la beauté et la force des traditions africaines. Son visage pensif est orné de détails minutieux, témoignant d'un savoir-faire exceptionnel. Le perroquet, posé délicatement dans sa main, symbolise la liberté et le lien profond avec la faune. Les couleurs vibrantes et les textures soigneusement travaillées insufflent à l'œuvre une vitalité palpable, capturant l'essence de la culture tout en rendant hommage à la complexité de l'âme humaine.

Cette sculpture invite à une contemplation introspective, où chaque élément raconte une histoire, un écho de la tradition et de la modernité